Médiathèque Théodore Monod
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Titre : Ascenseur pour l'échafaud : musique originale du film de L. Malle Type de document : CD Auteurs : Miles DAVIS, Compositeur ; MALLE, Louis, Monteur Editeur : Groove Replica Année de publication : 2020 Importance : 1 disque vinyle ISBN/ISSN/EAN : 8436569194942 Langues : (zxx) Mots-clés : Musique de film France 1958 Résumé :
Édition originale : P 1958.Note de contenu : Générique
L'assassinat de Carala
Sur l'autoroute
Julien dans l'ascenseur
Florence sur les Champs-Elysées
Dîner au motel
Evasion de Julien
Visite du vigile
Au bar du petit bac
Chez le photographe du motel
On Green Dolphin Street
Fran-dance
Stella by starlightEn ligne : https://www.gamannecy.com/polysson/201504/01-8436539312291.mp3 Ascenseur pour l'échafaud : musique originale du film de L. Malle [CD] / Miles DAVIS, Compositeur ; MALLE, Louis, Monteur . - Groove Replica, 2020 . - 1 disque vinyle.
ISSN : 8436569194942
Langues : (zxx)
Mots-clés : Musique de film France 1958 Résumé :
Édition originale : P 1958.Note de contenu : Générique
L'assassinat de Carala
Sur l'autoroute
Julien dans l'ascenseur
Florence sur les Champs-Elysées
Dîner au motel
Evasion de Julien
Visite du vigile
Au bar du petit bac
Chez le photographe du motel
On Green Dolphin Street
Fran-dance
Stella by starlightEn ligne : https://www.gamannecy.com/polysson/201504/01-8436539312291.mp3 Exemplaires(1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Statut Disponibilité 00099009017858 520 ASC CD Médiathèque de Juvignac adultes en cours d'import BDP Exclu du prêt
Titre : Back in black Type de document : CD Auteurs : AC-DC, Editeur : Columbia Année de publication : 2020 Importance : 1 disque vinyle ISBN/ISSN/EAN : 5099751076513 Langues : Anglais (eng) Mots-clés : Hard rock Australie 1980 Résumé :
Que dire qui n’ait pas déjà été dit et redit mille fois au sujet de « Back In Black » ? Que c’est le deuxième album le plus vendu de tous les temps derrière le « Thriller » de Mickey J. et qu’il culmine ainsi au-delà des 50 millions d’exemplaires vendus ? Tout cela, vous le savez déjà. Paru il y a quarante ans le 25 juillet 1980 (j’en vois déjà certains qui viennent de prendre un coup derrière la tête), il change à jamais la face du Hard avec un grand H et celle d’un groupe déjà bien établi, mais ébranlé par l’immense perte qu’il vient de subir. Le disque arrive en effet six mois à peine après le décès du chanteur Bon Scott et AC/DC a choisi, tout comme le fera METALLICA six ans plus tard, d’avancer tout de suite et à vive allure pour ne pas sombrer corps et biens dans le processus de deuil. Et c’est encore une fois avec l’aide de Robert John « Mutt » Lange (cuistot chef des albums de platine de DEF LEPPARD et du précédent album des éléctriciens, « Highway To Hell ») que les quatre membres plus le nouveau Brian Johnson vont s’enfermer dans les studios Compass Points aux Bahamas où IRON MAIDEN enregistrera « Somewhere In Time » notamment, choisissant de fuir la grisaille et la pluie pour la chaleur et le soleil des Caraïbes afin de donner un successeur au malheureusement trop bien nommé « Highway To Hell ». Recommandé par Bon Scott himself qui l’avait vu en concert, le désormais ex-chanteur de GEORDIE à la casquette inamovible se voit offrir un écrin de diamants bruts pour faire son entrée dans l’Histoire du rock céleste, celui des dieux. Comme d’habitude avec AC/DC, nul question d’aller disserter sur des sujets alambiqués : le rock, les femmes et la fête sont leurs thèmes de prédilection, ce qui leur sied bien par ailleurs. Mais aussi la mort, à l’image de la sombre "Hell’s Bells" où la Faucheuse parle d’elle à la première personne (Je ne ferai pas de prisonniers, je n’épargnerai aucune vie / Personne ne pourra résister) ou l’éponyme "Back In Black" teintée d’espoir et de résilience (Oublie le corbillard parce que je ne meurs jamais / J’ai neuf vies). Sans oublier les grivoiseries de rigueur évidemment avec entre autres "Let Me Put My Love Into You", "Given The Dog A Bone", bien que la malice que l’on retrouvait dans les textes de Scott ait fait place à une trivialité plus directe. Forcément, on y perd un peu au change mais cela permet de distinguer deux époques, deux chanteurs, presque deux vies on pourrait dire.Note de contenu : Hells bells
Shoot to thrill
What do you do for the money
Givin the dog a bone
Le me put my love into you
Back in black
You shook me all night long
Have a drink on me
Shake a leg
Rock and roll ain't noise pollutionEn ligne : https://www.gamannecy.com/polysson/201007/01-5099751076520.mp3 Back in black [CD] / AC-DC, . - Columbia, 2020 . - 1 disque vinyle.
ISSN : 5099751076513
Langues : Anglais (eng)
Mots-clés : Hard rock Australie 1980 Résumé :
Que dire qui n’ait pas déjà été dit et redit mille fois au sujet de « Back In Black » ? Que c’est le deuxième album le plus vendu de tous les temps derrière le « Thriller » de Mickey J. et qu’il culmine ainsi au-delà des 50 millions d’exemplaires vendus ? Tout cela, vous le savez déjà. Paru il y a quarante ans le 25 juillet 1980 (j’en vois déjà certains qui viennent de prendre un coup derrière la tête), il change à jamais la face du Hard avec un grand H et celle d’un groupe déjà bien établi, mais ébranlé par l’immense perte qu’il vient de subir. Le disque arrive en effet six mois à peine après le décès du chanteur Bon Scott et AC/DC a choisi, tout comme le fera METALLICA six ans plus tard, d’avancer tout de suite et à vive allure pour ne pas sombrer corps et biens dans le processus de deuil. Et c’est encore une fois avec l’aide de Robert John « Mutt » Lange (cuistot chef des albums de platine de DEF LEPPARD et du précédent album des éléctriciens, « Highway To Hell ») que les quatre membres plus le nouveau Brian Johnson vont s’enfermer dans les studios Compass Points aux Bahamas où IRON MAIDEN enregistrera « Somewhere In Time » notamment, choisissant de fuir la grisaille et la pluie pour la chaleur et le soleil des Caraïbes afin de donner un successeur au malheureusement trop bien nommé « Highway To Hell ». Recommandé par Bon Scott himself qui l’avait vu en concert, le désormais ex-chanteur de GEORDIE à la casquette inamovible se voit offrir un écrin de diamants bruts pour faire son entrée dans l’Histoire du rock céleste, celui des dieux. Comme d’habitude avec AC/DC, nul question d’aller disserter sur des sujets alambiqués : le rock, les femmes et la fête sont leurs thèmes de prédilection, ce qui leur sied bien par ailleurs. Mais aussi la mort, à l’image de la sombre "Hell’s Bells" où la Faucheuse parle d’elle à la première personne (Je ne ferai pas de prisonniers, je n’épargnerai aucune vie / Personne ne pourra résister) ou l’éponyme "Back In Black" teintée d’espoir et de résilience (Oublie le corbillard parce que je ne meurs jamais / J’ai neuf vies). Sans oublier les grivoiseries de rigueur évidemment avec entre autres "Let Me Put My Love Into You", "Given The Dog A Bone", bien que la malice que l’on retrouvait dans les textes de Scott ait fait place à une trivialité plus directe. Forcément, on y perd un peu au change mais cela permet de distinguer deux époques, deux chanteurs, presque deux vies on pourrait dire.Note de contenu : Hells bells
Shoot to thrill
What do you do for the money
Givin the dog a bone
Le me put my love into you
Back in black
You shook me all night long
Have a drink on me
Shake a leg
Rock and roll ain't noise pollutionEn ligne : https://www.gamannecy.com/polysson/201007/01-5099751076520.mp3 Exemplaires(1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Statut Disponibilité 00099008898720 2.ACD 50 CD Médiathèque de Juvignac adultes en cours d'import BDP Exclu du prêt
Titre : Banane bleue Type de document : CD Congrès : Frànçois and the Atlas Mountains, Editeur : Domino Recording Année de publication : 2021 Importance : 1 disque vinyle ISBN/ISSN/EAN : 0887828047819 Langues : Multilingue (mul) Mots-clés : Pop music Angleterre 2021 Résumé : Frànçois and The Atlas Mountains présente Banane Bleue chez Domino, un disque nomade et profondément européen, né entre Berlin, Athènes et Paris. C'est seul, ou presque, que Frànçois a conçu ce disque, épaulé par le finlandais Jaakko Eino Kalevi à la production et par Renaud Letang (Feist, Gonzales, Connan Mockasin) au mix. Un manifeste envoûtant et délicieux qui définit les contours du futur de la pop française.
Note de contenu : The foreigner
Coucou
Julie
Par le passé
Holly go lightly
Lee-Ann & Lucie
Tourne autour
Revu
Gold & lips
Dans un taxiEn ligne : https://www.gamannecy.com/polysson/202102/01-0887828047826.mp3 Banane bleue [CD] / Frànçois and the Atlas Mountains, . - Domino Recording, 2021 . - 1 disque vinyle.
ISSN : 0887828047819
Langues : Multilingue (mul)
Mots-clés : Pop music Angleterre 2021 Résumé : Frànçois and The Atlas Mountains présente Banane Bleue chez Domino, un disque nomade et profondément européen, né entre Berlin, Athènes et Paris. C'est seul, ou presque, que Frànçois a conçu ce disque, épaulé par le finlandais Jaakko Eino Kalevi à la production et par Renaud Letang (Feist, Gonzales, Connan Mockasin) au mix. Un manifeste envoûtant et délicieux qui définit les contours du futur de la pop française.
Note de contenu : The foreigner
Coucou
Julie
Par le passé
Holly go lightly
Lee-Ann & Lucie
Tourne autour
Revu
Gold & lips
Dans un taxiEn ligne : https://www.gamannecy.com/polysson/202102/01-0887828047826.mp3 Exemplaires(1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Statut Disponibilité 00099009018542 2.FRA 20 CD Médiathèque de Juvignac adultes en cours d'import BDP Exclu du prêt Le Baptême / M
Titre : Le Baptême Type de document : CD Auteurs : M (1971-....), Compositeur Editeur : Warner Classics Année de publication : 2022 Importance : 2 disques vinyl ISBN/ISSN/EAN : 0190295275518 Langues : Français (fre) Mots-clés : Chansons françaises ** 1997 Résumé : Édition originale : P 1997. Certaines choses sont écrites avec plus ou moins de justesse et selon des points de vue différents. L'aîné des garçons de Louis Chedid (mais non de ses enfants) se devait de se lancer dans la musique comme son père, et avoir rapidement autant sinon plus de succès que lui. C'est sur conseil de la grand-mère écrivain, Andrée, que Matthieu se lance et fait très vite partie d'une sorte de nouvelle chanson française "colorée" apportée par les années 90, chaleureuses après les froides années 80. Il côtoie d'ailleurs pas mal Mathieu Boogaerts, les fils Souchon et Voulzy. La plume du père Louis, entre blues, légèreté et malice, le fiston la reprend à sa façon. Le Baptême arrive à un point instantané pour la naissance de son personnage, nommé simplement M, ou -M-, en rapport avec la première lettre de son prénom et d'une coupe de cheveux très spéciale qui va vite le faire connaître autant que sa musique. Sans parler de sa tenue, de son attitude : le gars est atypique, décalé, et les médias favorisent cet aspect, quitte à oublier qu'en dehors du chant, il est multi-instrumentiste et enregistre la plus grande part de son album lui-même. Pardon, lui m'aime. Cette rime à la Serge Gainsbourg, c'est la base créative de -M-, et qui fleurit déjà bien (ou non) dans Le Baptême, une sorte d'album "d'essai". Long de cinquante-cinq minutes environ, c'est un débordement de verve à la sauce Chedid nouvelle génération, révélateur de ce qui peut à la fois charmer comme agacer : -M- ne laisse pas indifférent. Il est guitariste et pas que rythmique, pas exceptionnel dans ses solos mais efficace et bien accordé à son propre univers. Si celui-ci avait été rock, il aurait pu remporter un meilleur crédit auprès d'une certaine frange de la population française, mais se serait vu sans doute moins bien défendu par les médias. À l'époque, en dehors de un ou deux NOIR DESIR près, la jeunesse, qui offre la meilleure réception possible à la personnalité et aux textes enfantins de -M-, est plus dans une orientation recoupée retour à la terre/cool/Afrique/reggae/haschich/cannabis, une identité lycéenne et jeunes adultes de gauche dont je faisais moi-même partie, sans toutefois goûter à aucune de ces choses musicales ou non (je n'ai jamais rien fumé, pas même depuis !). De la fin des années 90 à la moitié des années 2000 environ, -M- incarne cet esprit, comme TRYO, LOUISE ATTAQUE, toute la scène chanson swing etc. Du coup, en ces années-là, avoir le CD du Baptême, c'est cool. Nul doute que du fin fond de ses rêveries et de ses délires, -M- en a bien conscience. Ce disque est son plus champêtre, son plus "enfumé", pour reprendre les idées du paragraphe précédent. Dès le départ, il y a une référence à la nature, aux paysans sur "La Fleur". Et surtout, à l'amour, parce que -M-, c'est l'amour cool, c'est l'"onde sensuelle" qui guide ses vers, et pour ces derniers il a été à bonne école, mais de là à dire que cela rejoint le niveau de madame Andrée, il n'y a qu'un pas à ne pas franchir. -M- chante l'amour avec plein d'humour et de jeux de mots, joue au chat et à la souris et à "j'te touche/tu m'touches" ou pas. Il le fait avec un accent traînant et souvent en voix de tête, ce qui achève de déplaire à ses détracteurs, même si pour l'heure il n'est pas encore suffisamment connu. Il s'auto-adoube sur "Le Baptême" en jouant sur cette voix particulière, en bidouillant et en faisant monter un peu le son des guitares ; une légère saveur pop alternative et quelques bidouillages avec des synthés vintage rendent la musique plus intéressante qu'elle ne peut l'être au premier abord. Les morceaux s'enchaînent, comme un fil rouge ou un concept. Néanmoins, cela sonne un brin monotone, pas assez diversifié ou "évident" dans les thèmes proposés. Le refrain de "Manque de Q" reste même assez gênant, pas rapport aux couplets. On comprend l'attachement du public envers l'artiste, mais il faut déjà arriver à le comprendre lui-même, certaines paroles se détachant d'un flow halluciné rempli de liberté poétique. "Les Acariens", malgré son aspect répétitif, se révèle bien meilleur que la plupart des titres reggae aux couleurs enfantines offerts par -M- dans ce premier album. C'est un climat, mais peu d'idées se détachent. Il y a deux ou trois riffs sympas sur "Coup de Vent" et "Rose Pourpre du Coeur", le bassiste -M- est plus avant sur "Pick Pockett" et "Je Suis une Cigarette". Si l'ensemble est touffu et manque de relief, une poignée de morceaux vitaminés rompent la folk acoustique reggae. En général, ils sont orientés funk, par exemple "L'amour Ma Thématique". Sinon, il reste le tube, "Machistador". Durant les 90's en France, quelques titres du même calibre ont su concurrencer la French Touch, dans un domaine autre que l'électro, "Je Danse le MIA" d'IAM et celui-ci. La version originale est déjà bien balancée, mais c'est surtout le remix qui cartonne, évidemment, avec ses cuivres, ses choeurs féminins. -M- emploie déjà un procédé, à lui d'offrir des chansons "bling-bling" moins innocentes, mais qui visent à faire sourire, et toujours à la cool. Il verra par la suite combien il est important pour lui de moduler son discours musical ! De bons moments sur ce disque, -M- naissant est déjà en forme, mais le meilleur est à venir.
Note de contenu : La fleur
Le baptême
L'amour ma thématique
Nostalgic du cool
Manque de q
Je suis une cigarette
La mort de l'âme
Pick pocket
Les acariens
Le rose pourpre du coeur
Coup de vent
Le temps mue
Matchistador
Souviens-toi
Souvenir du futur
Matchistador (extended)
Céline attendueLe Baptême [CD] / M (1971-....), Compositeur . - Warner Classics, 2022 . - 2 disques vinyl.
ISSN : 0190295275518
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Chansons françaises ** 1997 Résumé : Édition originale : P 1997. Certaines choses sont écrites avec plus ou moins de justesse et selon des points de vue différents. L'aîné des garçons de Louis Chedid (mais non de ses enfants) se devait de se lancer dans la musique comme son père, et avoir rapidement autant sinon plus de succès que lui. C'est sur conseil de la grand-mère écrivain, Andrée, que Matthieu se lance et fait très vite partie d'une sorte de nouvelle chanson française "colorée" apportée par les années 90, chaleureuses après les froides années 80. Il côtoie d'ailleurs pas mal Mathieu Boogaerts, les fils Souchon et Voulzy. La plume du père Louis, entre blues, légèreté et malice, le fiston la reprend à sa façon. Le Baptême arrive à un point instantané pour la naissance de son personnage, nommé simplement M, ou -M-, en rapport avec la première lettre de son prénom et d'une coupe de cheveux très spéciale qui va vite le faire connaître autant que sa musique. Sans parler de sa tenue, de son attitude : le gars est atypique, décalé, et les médias favorisent cet aspect, quitte à oublier qu'en dehors du chant, il est multi-instrumentiste et enregistre la plus grande part de son album lui-même. Pardon, lui m'aime. Cette rime à la Serge Gainsbourg, c'est la base créative de -M-, et qui fleurit déjà bien (ou non) dans Le Baptême, une sorte d'album "d'essai". Long de cinquante-cinq minutes environ, c'est un débordement de verve à la sauce Chedid nouvelle génération, révélateur de ce qui peut à la fois charmer comme agacer : -M- ne laisse pas indifférent. Il est guitariste et pas que rythmique, pas exceptionnel dans ses solos mais efficace et bien accordé à son propre univers. Si celui-ci avait été rock, il aurait pu remporter un meilleur crédit auprès d'une certaine frange de la population française, mais se serait vu sans doute moins bien défendu par les médias. À l'époque, en dehors de un ou deux NOIR DESIR près, la jeunesse, qui offre la meilleure réception possible à la personnalité et aux textes enfantins de -M-, est plus dans une orientation recoupée retour à la terre/cool/Afrique/reggae/haschich/cannabis, une identité lycéenne et jeunes adultes de gauche dont je faisais moi-même partie, sans toutefois goûter à aucune de ces choses musicales ou non (je n'ai jamais rien fumé, pas même depuis !). De la fin des années 90 à la moitié des années 2000 environ, -M- incarne cet esprit, comme TRYO, LOUISE ATTAQUE, toute la scène chanson swing etc. Du coup, en ces années-là, avoir le CD du Baptême, c'est cool. Nul doute que du fin fond de ses rêveries et de ses délires, -M- en a bien conscience. Ce disque est son plus champêtre, son plus "enfumé", pour reprendre les idées du paragraphe précédent. Dès le départ, il y a une référence à la nature, aux paysans sur "La Fleur". Et surtout, à l'amour, parce que -M-, c'est l'amour cool, c'est l'"onde sensuelle" qui guide ses vers, et pour ces derniers il a été à bonne école, mais de là à dire que cela rejoint le niveau de madame Andrée, il n'y a qu'un pas à ne pas franchir. -M- chante l'amour avec plein d'humour et de jeux de mots, joue au chat et à la souris et à "j'te touche/tu m'touches" ou pas. Il le fait avec un accent traînant et souvent en voix de tête, ce qui achève de déplaire à ses détracteurs, même si pour l'heure il n'est pas encore suffisamment connu. Il s'auto-adoube sur "Le Baptême" en jouant sur cette voix particulière, en bidouillant et en faisant monter un peu le son des guitares ; une légère saveur pop alternative et quelques bidouillages avec des synthés vintage rendent la musique plus intéressante qu'elle ne peut l'être au premier abord. Les morceaux s'enchaînent, comme un fil rouge ou un concept. Néanmoins, cela sonne un brin monotone, pas assez diversifié ou "évident" dans les thèmes proposés. Le refrain de "Manque de Q" reste même assez gênant, pas rapport aux couplets. On comprend l'attachement du public envers l'artiste, mais il faut déjà arriver à le comprendre lui-même, certaines paroles se détachant d'un flow halluciné rempli de liberté poétique. "Les Acariens", malgré son aspect répétitif, se révèle bien meilleur que la plupart des titres reggae aux couleurs enfantines offerts par -M- dans ce premier album. C'est un climat, mais peu d'idées se détachent. Il y a deux ou trois riffs sympas sur "Coup de Vent" et "Rose Pourpre du Coeur", le bassiste -M- est plus avant sur "Pick Pockett" et "Je Suis une Cigarette". Si l'ensemble est touffu et manque de relief, une poignée de morceaux vitaminés rompent la folk acoustique reggae. En général, ils sont orientés funk, par exemple "L'amour Ma Thématique". Sinon, il reste le tube, "Machistador". Durant les 90's en France, quelques titres du même calibre ont su concurrencer la French Touch, dans un domaine autre que l'électro, "Je Danse le MIA" d'IAM et celui-ci. La version originale est déjà bien balancée, mais c'est surtout le remix qui cartonne, évidemment, avec ses cuivres, ses choeurs féminins. -M- emploie déjà un procédé, à lui d'offrir des chansons "bling-bling" moins innocentes, mais qui visent à faire sourire, et toujours à la cool. Il verra par la suite combien il est important pour lui de moduler son discours musical ! De bons moments sur ce disque, -M- naissant est déjà en forme, mais le meilleur est à venir.
Note de contenu : La fleur
Le baptême
L'amour ma thématique
Nostalgic du cool
Manque de q
Je suis une cigarette
La mort de l'âme
Pick pocket
Les acariens
Le rose pourpre du coeur
Coup de vent
Le temps mue
Matchistador
Souviens-toi
Souvenir du futur
Matchistador (extended)
Céline attendueExemplaires(1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Statut Disponibilité 00099009166994 099.2 M CD Médiathèque de Juvignac adultes en cours d'import BDP Exclu du prêt Big band bossa nova / Quincy Jones Big Band
Titre : Big band bossa nova : The Newest latin american rhythm bossa nova Type de document : CD Auteurs : Quincy Jones (1933-....), Chef d'orchestre Congrès : Quincy Jones Big Band, Editeur : Shellac Année de publication : 2022 Importance : 1 disque vinyl ISBN/ISSN/EAN : 8435307615268 Langues : (zxx) Mots-clés : Middle jazz Influence brésilienne 1962 Bossa nova ** 1962 Résumé : Édition originale : P 1962. Dans les années 1950, Jones s'est fait connaître en tant qu'arrangeur et chef d'orchestre, et est rapidement devenu un grand nom. Le "Big Band Bossa Nova" de 1962 est devenu l'un des plus recherchés après ses premiers albums, principalement en raison de son morceau d'ouverture "Soul Bossa Nova", qui a été largement présenté dans le cinéma et la publicité, la scène du générique d'ouverture en 1997 "Austin Powers: Soul Bossa Nova (Quincy Jones)
Note de contenu : Soul bossa nova
Boogie bossa nova
Desafinado
Black Oprheus
Se e tarde me pardoa
On the street where you live
Samba de una nota so
Lalo bossa nova
Serenata
Chega de saudadeBig band bossa nova : The Newest latin american rhythm bossa nova [CD] / Quincy Jones (1933-....), Chef d'orchestre / Quincy Jones Big Band, . - Shellac, 2022 . - 1 disque vinyl.
ISSN : 8435307615268
Langues : (zxx)
Mots-clés : Middle jazz Influence brésilienne 1962 Bossa nova ** 1962 Résumé : Édition originale : P 1962. Dans les années 1950, Jones s'est fait connaître en tant qu'arrangeur et chef d'orchestre, et est rapidement devenu un grand nom. Le "Big Band Bossa Nova" de 1962 est devenu l'un des plus recherchés après ses premiers albums, principalement en raison de son morceau d'ouverture "Soul Bossa Nova", qui a été largement présenté dans le cinéma et la publicité, la scène du générique d'ouverture en 1997 "Austin Powers: Soul Bossa Nova (Quincy Jones)
Note de contenu : Soul bossa nova
Boogie bossa nova
Desafinado
Black Oprheus
Se e tarde me pardoa
On the street where you live
Samba de una nota so
Lalo bossa nova
Serenata
Chega de saudadeExemplaires(1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Statut Disponibilité 00099009166945 1.QUI 71 CD Médiathèque de Juvignac adultes en cours d'import BDP Exclu du prêt PermalinkPermalinkCité champagne / Moodoïd
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PermalinkEverything Is Alive / Slowdive
PermalinkPermalinkFront row seat to earth / Weyes Blood
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